Qui sommes-nous ?
Qui sommes-nous ? Voilà une bonne question !
D’abord, nous sommes deux, alors que souvent le bloggeur est seul, d’où le « nous » et pas le « je ». Nous sommes deux : une paire ? un duo ? un duel ? un plus un ? deux fois un ? une addition ? une multiplication ? un deuxième ? un second ? Sans doute tout ça à la fois et peut-être pas tout ça à la fois.
Nous ne sommes pas des professionnels de la gastronomie, ni journalistes, ni cuisiniers, ni communicants, professionnels au demeurant hautement respectables. Nous aimons boire et manger, de la street-food et des étoilés, des vins naturels et des grands bordeaux, parfois de l’eau mais alors pétillante et nous aimons par-dessus tout le bon pain, qui doit retrouver sa juste place au restaurant. L’un aime tout sauf la méduse, mauvais souvenir d’un plat étrange à Singapour et est allergique aux noix, l’autre aime tout sauf le fromage, les abats, l’agneau, le boudin, l’ail… difficile pour les menus à l’aveugle !
Nous cuisinons un peu, un fils de cuisinière, un Italien, un Corrézien, deux assidus des cours de cuisine, L’Atelier des Chefs et les Cours Lenôtre et tous deux diplômés de… l’Ecole de Cuisine du Tigre de Papier à Siem Reap au Cambodge ! (d’accord après une seule journée de cours…). Sans avoir le talent de toutes ces bloggeuses et tous ces bloggeurs qui nous livrent chaque jour des recettes simples ou complexes mais toujours sincères nous ne nous débrouillons pas trop mal aux fourneaux : les pâtes pour Walter l’Italien, le foie gras pour Jack le Corrézien. Beaucoup de livres de cuisine à la maison et beaucoup de guides, la gastronomie c’est aussi le plaisir des mots et des photos.
Des mots et des photos, nous y voici, pourquoi ce blog ? Pour répondre à nos amis qui nous demandaient de le faire et aussi pour le plaisir de partager nos découvertes et nos redécouvertes, le plus souvent nos plaisirs et parfois nos déceptions. Nous adorons dire « miam-miam » et nous détestons dire « bof » mais les chefs, les serveurs, les propriétaires ne doivent jamais oublier que le restaurant doit toujours être une fête et les clients ne doivent jamais oublier qu’on peut, peut-être, être "roi" mais qu'on doit toujours être respectueux d’un travail difficile.
Nous ne détenons pas la vérité car comme dit Albert Jacquard « La vérité ne se possède pas, elle se cherche. », alors nous la cherchons, de marché en bistrot, de bistrot en gastronomique, de gastronomique en stand de rue… mais presque toujours en payant nous-mêmes notre addition.
Bonne lecture et surtout n’hésitez pas à laisser vos commentaires… même ceux des Chefs en colère sont publiés !
Nous contacter : jack.et.walter@orange.fr